J’avais dit que j’y retournerais une fois ma carte réparée. Elle fonctionne… à l’Africaine
Cela n’a pas été sans mal
Dimanche soir : Bateau en retard
Lundi soir : Bateau parti
Mais j’ai vu un RO RO (La vidéo est en fin de récit)
Mardi soir : Bateau en rade, arrivera vers minuit
Et ce soir j’attends, à l’entrée du port qu’Arnaud me fasse signe
Bingo ! Je rentre dans le terminal
Escorté par un ange gardien qui me fournit casque et gilet
Tout le monde travaille dur
On décharge
Bon, me voilà au pied de l’engin. 1200 tonnes ! Il peut travailler avec un vent qui souffle jusqu’à 72 kilomètres heure !
Arrivé en haut, je fais la connaissance de Linda. Décidément, je ne tombe que sur des portiquières !
Qui me rassure sur le plancher de verre de sa cabine « Il peut supporter 600 tonnes » Du verre quand même !
Quelques photos mais les vidéos sont beaucoup plus parlantes
Voici le navire qui est déchargé. 67 tonnes de charge maximale sous spreader!) Le spreader (jaune) est le machin (de 12,4 tonnes quand même) qui sert à prendre les containers. Et le palonnier pèse 4,3 tonnes !
Voici ce qui reste à décharger…
Linda a voulu que je prenne son siège, histoire de faire une photo
Avec l’autorisation, du Fils, du Père et de l’Esprit Saint, j’ai manœuvré le spreader (je l’ai descendu de trois mètres et remonté d’autant, c’est tout !)
Ici ce sont les panneaux de la cale du navire qui sont à quai, le temps de vider ce qu’il y a dedans.
Avant de monter, j’avais demandé à mon accompagnateur qu’on redescende par les escaliers
Je me suis dégonflé et j’ai repris l’ascenseur (poltron, va !)
Bref, une sacrée soirée !
Le RO RO de lundi
J’y vais !
45 mètres de haut !
Le plancher de verre
La remontée du container
Vu d’en bas
La sortie du port
La route du port