D’abord visite de Ouadane en compagnie de Barakallah.
Au pas de course !
Ouadane a été fondée en 1141 par 3 Mauritaniens qui revenaient de la Mecque. Arrivés dans la région, ils ont déposé 3 livres. Un à Atar, je second à Chinguetti et le dernier à Ouadane.
Ils sont revenus un an plus tard. A Atar, le livre avait été emporté par les eaux. A Chinguetti, il avait été recouvert par les dunes de sable et celui de Ouadane était mangé par les termites.
La suite ? Je la raconte alors que je ne savais pas qu’Abdou me filmait !
Ouadane a compté jusqu’à 8000 habitants.
Elle est en magnifique état de conservation, 9 siècles plus tard. Des marmotes vivent dans les ruines
Regardez le puits fortifié…
Les ruelles…
Et surtout l’ancienne mosquée
Les Saharouis sont venus en 1966. Ils ont beaucoup détruit, notamment l’hôtel (près du pylône), tenu par des Français…
Je crains de vous lasser en vous montrant trop de photos. Pour les amateurs, j’en ai d’autres !
Il faut tout de même savoir qu’il a plu à Ouadane en 2018. La dernière fois que c’était arrivé, c’était en…1993 !
Bref, on prend la piste pour 80 kilomètres de conduite dans les dunes. Du pur bonheur.
Et une concentration extrême.
Sinon, c’est beau.C’est beau à vous couper le souffle
Au milieu du parcours, arrêt dans l’oasis de Tenorchert. Nous sommes, bien entendu, invités à prendre le thé par Sidi Mohamed (74 ans) et Koriya. Regardez bien Koriya comment elle fait pour faire refroidir le thé.
Plus il y a mousse, plus le thé est buvable.
Sinon, j’ai retrouvé un drone dans mes bagages depuis la frontière mauritanienne…
Vu dans haut, voici l’oasis :
You know what ?
I am happy !
Mais lessivé… ou le contraire !