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Je découvre, de jour, la fameuse rivière du « Crocodile Camp »
Lorsqu’il fait chaud, les crocodiles viennent sur les bancs de sable et lézardent (Moi ça me fait rire, c’est déjà ça…)
On voit d’ailleurs leurs traces
Je contemple un baobab nain (baobab-chacal, comme me l’a appris Lucette)
Avec de la charmante compagnie
Si bien qu’en reprenant la voiture
Un passager clandestin !
Les environs regorgent de baobabs
Les collines en sont couvertes
Je n’en ai jamais autant vu au mètre carré !
La route qui mène à Dar es Salaam traverse une réserve
Bon, si vous avez un accident de la route, il faut payer :
J’apprends donc que, pour le prix d’une girafe, on peut se payer 60 chacals « Venez, bande de chacals, à 60 s’il vous plaît »
J’apprends qu’un lion n’est pas très bien côté ; à peine le tires d’une girafe…
Je vais à la porte d’entrée de la réserve pour découvrir que planter ma tente me coûtera, au bas mot, plus de 100 dollars pour 24 heures. Avec l’entrée pour moi et la voiture.
Et ce n’est pas celui-ci qui m’a dit le contraire !
A la sortie du Parc, des vendeurs d’osier. J’ai trouvé leur achalandage pittoresque
Arrivée à Morogoro
Zut, j’ai deux jours d’avance ! Je ne promets pas de revenir…
Direction Dar es Salaam (changement d’itinéraire pour deux raisons
- Il paraît que Dodoma ne vaut pas le coup.
- Mais surtout j’ai besoin d’aller à l’ambassade d’Ethiopie pour un visa avec entrée par la route, et ce n’est pas gagné d’avance)
Des plantations
À perte de vue
Et toujours la même cuisine que la veille (villages à dos d’âne et à 50…) +
Le panneau qui suit m’a fait rire, on sent qu’ils vont tout casser !
60 kilomètres avant Dar es Salaam, la route est en travaux… J’arrive à la nuit tombante. Aujourd’hui, moins de 50 de moyenne, travaux compris. Pour 9 heures de route…
Franchement, le Muzungu* a une tête comme un réseau mal câblé !
*Le « Blanc » en Swahili. Légèrement péjoratif…