Le port

 

Il fait meilleur aujourd’hui : 42° contre 48° hier

Quel plaisir de visiter le premier pays complètement en vert sur la carte du Quai d’Orsay

 

 

 

 

Ahmed, le gérant, me fait un prix pour ma dernière nuit

 

 

 

 

Ce sympathique égyptien m’offre même des dattes fraîches

 

 

 

 

Khan, un autre égyptien, m’emmène au port

 

 

 

 

Détour pour voir de près le symbole du Koweït

 

 

 

Le port de pêche

 

 

 

 

Malgré le modernisme, les boutres sont restés immuables

 

 

 

 

Je sympathise avec des pêcheurs égyptiens, Saber (le chef, celui qui ne fait rien. Normal, il est chef)

 

 

 

 

Sbhu, qui répare les filets

 

 

Et Mjdu, qui les répare aussi

 

 

Le boutre, autre symbole du Koweït (sur les billets de banque, affiché un peu partout…)

 

 

 

Je reconnais être impressionné par l’architecture

 

 

 

 

La bourse du Koweït

 

 

 

 

Au gré de ma promenade

 

 

 

 

J’emprunte un passage piétons souterrain

 

 

 

 

Je m’arrête devant cette affiche

 

 

 

 

Le gérant, rigolard, m’explique que le propriétaire a fait ses études à Paris. Mais que cela lui pose des problèmes car les Koweitis n’arrêtent pas, prenant la traduction au pied de la lettre, de demander des gâteaux !!

 

Et puis quand c’est trop vieux, on démolit !

 

 

 

Je ne suis pas émerveillé. Impressionné, oui

 

 

 

Abdul, un Bangladeshi, me reconduit. Les kilomètres d’hier ont laissé des traces…

 

 

 

 

Je décide de m’offrir un repas chaud !

Pizza Hut. Le dernier essai fut à Dar es Salaam. Sale, personnel incompétent…

Ici, ça change !!

 

 

 

 

Servi très professionnellement par Kiro, un autre Egyptien (Quand vous voyez quelqu’un travailler, c’est un Etranger)

 

 

 

 

Du coup, je fais une folie, je prends un dessert

« Vous voulez plus de chocolat ? » Au point où j’en suis…

 

 

 

    Même de nuit, je tombe sur un boutre

 

 

 

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Pas assez cher, mon fils !